Virginie Alors que les voyages et transports sont limités, apprendre une langue étrangère peut sembler loin d’être une priorité. Pourtant, chaque jour, les technologies se renouvellent et multiplient les manières d’échanger avec le monde entier. Les compagnies et entreprises s’offrent des contrats et projets avec des collaborateurs aux quatre coins du globe. Maîtriser une langue universelle comme l’anglais deviendra alors, plus que jamais, un atout maître pour son futur.
Pourquoi développer ses compétences linguistiques ?
Ce n’est plus un secret : parler une deuxième ou troisième langue est un avantage certain sur son CV. A l’heure de l’ultra-mondialisation, cet atout devient même une nécessité. De nombreux nouveaux métiers, notamment dans le monde digital, reposent énormément sur cette capacité bilingue. Pour certaines formations, par exemple en événementiel ou en marketing, l’anglais devient même une priorité. Cela s’assure de pouvoir prétendre à un carnet d’adresse dans le monde entier et de collaborer avec tout spécialiste.
Ces derniers mois, où les professionnels étaient confinés, ont notamment permis d’explorer davantage de projets collaboratifs. L’explosion de certains réseaux sociaux et nouvelles fonctionnalités entraîne aussi de nouveaux contenus. Entre Zoom et les lives Facebook ou Instagram, les biais sont nombreux. Des conférences globales sont ainsi accessibles depuis chez soi – et parler anglais pour en profiter est alors primordial. On évite ainsi de passer à côté de nombreuses occasions. Pour les générations futures, l’apprentissage de l’anglais s’assure d’être davantage qu’un hobby.
Pour s’y préparer, apprendre l’anglais dès l’enfance
Afin d’appréhender les changements futurs du monde professionnel, il convient de se mettre le plus tôt possible à son apprentissage. Les études le démontrent, les enfants sont les plus réceptifs aux nouvelles langues. Formés dès leur premier âge, ils intègrent ainsi facilement les systèmes de langues. Ils deviennent alors plus aptes à acquérir un statut complètement bilingue. De nombreuses écoles tentent ainsi les classes bilingues. Généralement dédiées aux langues régionales, certains proposent toutefois l’anglais ou l’espagnol.
Le plus facile, toutefois, reste l’apprentissage en ligne. De nombreux spécialistes dédient des plateformes entières à l’enseignement des langues, dont l’anglais. Construites autour de la norme européenne, portées par des tuteurs natifs, ces formations cherchent à dynamiser l’éducation. Certains sites proposent, par exemple, des programmes adaptés aux plus jeunes pour apprendre l’anglais. De cette façon, dès 4 ans, le système cognitif déjà prêt pour un double apprentissage linguistique, l’enfant peut se former.
Les avantages d’une formation digitale
Les plateformes mettent en avant de nombreux atouts importants, dont ne bénéficient pas forcément les établissements. De plus, grâce au virtuel, l’enfant ne perd pas son temps dans les trajets, et le parent peut garder un œil sur la formation qu’il paie. Parmi les avantages phares de ces formations digitales, le parent et l’élève peuvent compter avant tout sur une immersion linguistique avec des enseignants natifs. Cela garantit que les tuteurs ou professeurs sont d’origine anglophone.
De plus, les organismes embauchent des spécialistes de l’éducation, formés pour l’apprentissage d’une langue secondaire. Des programmes adaptés au niveau de l’enfant, évoluant avec son parcours, sont développés. Ils intègrent souvent un apprentissage didactique, fait de jeux et de nouvelles méthodes dynamiques. Pour confirmer les progrès de l’élève, un contrôle régulier et personnalisé des performances se fait, grâce à des sessions individuelles. Le tout, sous la sécurité pour les parents d’un cursus établi d’après la norme européenne.
Apprendre l’anglais dès le petit âge assure ainsi de grandir en perfectionnant sa maîtrise de la langue plutôt que de la découvrir au collège. L’enfant s’engage alors dans sa vie future avec une connaissance bien acquise. Bien évidemment, cela ne prévient pas des adultes ou jeunes adolescents à tenter l’expérience. Chacun, selon ses capacités, devra opter pour la formation adaptée à son profil. De quoi construire, peu à peu, sa place dans le nouveau monde en construction.
